

Je suis très heureuse de vous retrouver les mercredis à Eybens !
Dans la salle de yoga du Home Studio Café.
Aujourd’hui je vous partage une toute petite recette, toute simple : celle d’un super baume anti douleurs musculaires, parfait pour soulager les sensations de raideur !
Personnellement je peux passer de longues périodes assises derrière un ordinateur avec mon travail, un petit massage de la nuque, des épaules et du haut du dos le soir avant de dormir ne fait pas de mal 😉
J’utilise 3 ingrédients seulement :
Pour réaliser ce baume anti douleurs musculaires, dans un petit pot de 50ml je mets (à vue d’œil, je fais un peu à ma sauce à chaque fois) :
Et voilà c’est tout ! 🙂
Vous pouvez également vous en servir après beaucoup d’effort sportif, quand les muscles sont tendus. Il permet d’apaiser les tensions, de relâcher les muscles.
Bon massage ! 😌
« L’apaisement réside en chacun de nous. »
— Dalaï Lama.
Mais qu’est-ce que le kéfir ?!
Si vous faites partie des personnes qui ont récupéré quelques uns de mes grains, voici les directives que m’a donné la personne qui m’a transmis mes premiers petits bébés ! 🙂
On laisse la mixture tranquille 48h bien à l’abri des rayons du soleil et avec une serviette dessus, à température ambiante.
On ne ferme pas hermétiquement ou la fermentation va créer de l’alcool !
Pendant ce temps, le Kéfir va manger et créer la fermentation dans l’eau, qui va devenir très riche en probiotiques.
Petit tips complémentaire : je n’attends pas forcément les 48h, mais surtout que la figue flotte avant de lancer la deuxième étape, comme dans le pot de droite ici :
On jette la figue et le citron !
On filtre : on récupère les grains dans une petite passoire et le précieux liquide dans une bouteille/pot à fermeture hermétique.
Pour les grains récupérés, soit on relance une autre 1ère fermentation en recommençant le cycle, soit on le met en attente.
Par contre, comme il est vivant, il faut le mettre dans de l’eau et du sucre et changer d’eau (+ sucre) toutes les 48h max, donc autant lancer une fermentation pour consommer le liquide
Avec l’eau de la 1ère fermentation, on ajoute les fruits qu’on veut, les épices, les herbes,… pour aromatiser. On ferme bien hermétiquement pour cette phase là !
Pour la dose c’est instinctif, un tout petit tiers de fruits convient très bien. Si on le fait directement dans une bouteille à limonade par exemple, on ne remplit pas complètement la bouteille, et attention au jeyser quand on ouvre !
Mes petits fruits coup de cœur si vous cherchez de l’inspiration :
Pour cette deuxième fermentation, c’est minimum 24h à température ambiante, et ensuite on la met au frais. Hermétiquement fermée, elle se garde bien plus d’une semaine, surtout sans les fruits. S’ils sont encore dans la bouteille, il vaut mieux le consommer plus vite car ils continuent de fermenter. Pour enlever les fruits, qui auront quand même bien ramollis, on peut se servir de la pointe d’un couteau.
Vous pouvez boire votre kéfir ! 🙂
Si vous en avez trop, que vous voulez en donner, ou que vous n’en n’avez pas et voulez en trouver, je vous conseille ce site : https://kefirkombucha.net/
« On ne trouve guère un grand esprit qui n’ait un grain de folie. »
Sénèque
Voici une nouvelle recette de lessive révolutionnaire : la lessive à base de lierre ! 🙂
La recette est totalement inspirée de celle présente dans le 3ème volet des hors-série Kaizen sur l’autonomie :
On utilise uniquement deux ingrédients. Pour 2 L de lessive à base de lierre environ :
La recette est simple (bien qu’un peu longue c’est vrai) :
Utilisation : J’utilise un bouchon par lessive après l’avoir bien secouée. Certains conseillent d’ajouter une demi verre de vinaigre blanc en plus, à vous de tester et de vous faire votre avis !
Des retours que j’ai eu, elle se conserve quelques semaines mais pas plus, après elle pourra moisir.
Le gros avantage pour moi de cette lessive : elle est « gratuite », on trouve du lierre un peu partout, et surtout elle sent le frais, la nature ! 🥰
Bon lavage ! 🙂
« Une mauvaise herbe est une plante dont on n’a pas encore trouvé les vertus. »
— Ralph Waldo Emerson.